8 septembre
On
se lève tranquillement, et après le petit déjeuner, Cédric nous emmène
faire un tour dans le quartier. C'est une vraie fourmilière. Il y a des
petites boutiques et des vendeurs ambulants tout le long des rues
principales. On traverse le marché
: d'abord un petit marché caché pour les vendeurs qui ne veulent pas
payer d'emplacement, puis le marché principal. C'est immense et l'odeur
est moins désagréable qu'à Douala. Il y a de tout : de la bouffe sous
toutes ses formes, et a peu près tout ce qui est vendable. On est alpagués de partout. On a aussi notre première demande en mariage : "Hé moi je vous épouse toutes les trois !". Oui voilà ! On bouffe quand même pas mal de poussière.
On rentre à la maison, puis on repart en voiture pour aller déjeuner chez Nathalie, "maman Nanou", la grande sœur d' Armand.
Encore une fois on est très bien accueilli. Elle nous a préparé des
œufs mimosa, des petites brochettes de bœuf légèrement pimentées, du
poulet braisé égorgé le matin même, des pommes de terre vapeur et des
bananes plantain en rondelle. C'est délicieux. En dessert une énorme
salade de fruits pastèque-ananas. On discute avec Nathalie autour du
repas.
On a ensuite rendez-vous à 14h au musée ethnographique et d'histoire du peuple de la foret d'Afrique centrale. On y retrouve deux membres de OPEN qui nous accompagnent. On rencontre la propriétaire et fondatrice de ce musée, Thérèse Fouda, une dame âgée très cultivée qui a étudié à Paul Sabatier à Toulouse. On a le droit à une visite guidée privée du musée. C'est très intéressant. On découvre les traditions du peuple Beti, des masques, des armes, des objets de cuisine, des paniers. On finit par une photo de famille et on repart pour la maison en faisant un tour par le quartier ou réside Cédric pour saluer ses sœurs. A la maison, on attend que Thérèse rentre d'une réunion pour passer à table : du porc avec une sauce a la tomate aux épices locales, des bananes plantain et du koki, mélange de haricots écrasés avec des épices, cuits dans des feuilles de bananier.
On a ensuite rendez-vous à 14h au musée ethnographique et d'histoire du peuple de la foret d'Afrique centrale. On y retrouve deux membres de OPEN qui nous accompagnent. On rencontre la propriétaire et fondatrice de ce musée, Thérèse Fouda, une dame âgée très cultivée qui a étudié à Paul Sabatier à Toulouse. On a le droit à une visite guidée privée du musée. C'est très intéressant. On découvre les traditions du peuple Beti, des masques, des armes, des objets de cuisine, des paniers. On finit par une photo de famille et on repart pour la maison en faisant un tour par le quartier ou réside Cédric pour saluer ses sœurs. A la maison, on attend que Thérèse rentre d'une réunion pour passer à table : du porc avec une sauce a la tomate aux épices locales, des bananes plantain et du koki, mélange de haricots écrasés avec des épices, cuits dans des feuilles de bananier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire